介绍：迪士尼频道喜剧《#安迪·麦克#》(Andi Mack)第一集上线至今已经在各平台收获超过1400万次观看，得到了一致的好评。这部剧的独特之处在于它能让拥有普通生活的观众产生强烈的共鸣。

介绍：　"Andi Mack" is a contemporary, coming-of-age story about a girl who's trying to determine where she fits in and the many amazing ways she can live her life. When her free-spirited older sister Bex returns home with a revelation that changes everything, it sends Andi on an uncharted course of self-discovery.

介绍：1964年，年轻的阿里（Will Smith 威尔• 史密斯 饰）凭着高超的拳术，坚韧的毅力战胜尼桑•里斯顿成为了新的拳王！时值越南战争期间，阿里拒绝服兵役，因为“越共没有管我叫黑鬼”正因为阿里直率的性格，拒绝向自己认为错误的事屈服，阿里因此吃尽苦头：美国政府用尽方法企图将阿里投进监狱；拳击理事会剥夺了阿里拳王的金腰带，等等。　　在1964至1974这社会动荡的10年里，阿里表现出的坚忍不拔的毅力和决不屈服的独立性不仅对他个人，对拳击界甚至对整个社会都产生了巨大的回响，阿里亦因此成为黑人运动和反越战运动的精神领袖。　　最终在1974年，阿里凭着过人的毅力，以34岁的运动高龄，再次向拳王发出了挑战！

介绍：故事紧接上季结尾，阿布奎基（Albuquerque）律师Jimmy McGill遭到哥哥Chuck的背叛，于是回到伊利诺伊州的家乡西塞罗（Cicero）与童年死党Marco（Mel Rodriguez）一起策划一系列诈骗诡计他们成功了，但Marco在他们最后一次干脏活时突发心脏病。Marco死后，Jimmy回到了新墨西哥州，他的人生似乎有了新的意义。他拒绝了圣达菲（Santa Fe）一家大型律师事务所的工作邀请，朝着刑事辩护律师「Saul Goodman」的方向迈出了一大步，他「清白正直」的日子一去不返。他的转型……已然开始。但是制片人反复强调，你不会在本季看到一个完整的Saul Goodman，「Jimmy McGill才是该剧的灵魂人物」，「我们要描述的是他的故事」，「我们不会这么快和他道别」。　　Jimmy本季有许多事情要做，包括修复与哥哥Chuck（Michael McKean）的关系。Chuck始终不相信Jimmy是一个合法的律师，并且阻止自己的Hamlin Hamlin McGill律师事务所雇用Jimmy协助调查一起大案。Chuck是个荣誉感很强的人，他爱弟弟，但他不容许他破坏自己的事业和生活——即便有时他不得不承认自己的做法对Jimmy来说有点太过分。　　观众将进一步了解Mike Ehrmantraut（Jonathan Banks）的个人生活。当费城侦探跑来向他质询一起双重谋杀案时，他被迫雇用Jimmy做自己的法律顾问。这起谋杀案是真实的，Mike当年为了复仇在费城杀死了两名警察，但他绝不是恶意杀人。Mike将发生一些显著的变化，但那些变化起源于小事情。　　Jimmy和Mike都在朝着《Breaking Bad》中的标志性角色发展，这期间少不了许多「彩蛋」。本季还会有不少闪进情节，观众将看到「Saul在《Breaking Bad》结束后的生活」（准确地说，Cinnabon的Gene），还有「到目前为止最年轻的Jimmy」。一些观众在《Breaking Bad》首季中见过（但是之后再也未见到）的角色将在本季亮相。当然，还有观众熟悉的一些人。此外，Jimmy是个天生的「问题解决者」，他将帮助许多新角色摆脱困境。他还将遇到一个大人物Clifford（六届艾美奖提名获得者Ed Begley Jr.），他手中掌握的权力能让Jimmy诸多梦想变为现实……只要Jimmy付得起他的价钱。Clifford表面上看起来慈祥和蔼，让人很乐意和他待在一起。可一旦任何人触犯了他的利益，必将遭遇灭顶之灾。除了继续与Chuck关系紧张之外，Jimmy与Kim的矛盾也日渐升级（但是Jimmy与Kim的私人关系也变得更加纠缠不清）。你还应该特别留意Jimmy与Davis和Main的关系、Jimmy与Mike的关系。　　转自天涯小筑

介绍：Hallelujah the Hills d’Adolfas Mekas　　États-Unis 1963 35mm 82’ nb vostf　　avec Peter Beard, Marty Greenbaum, Sheila Finn, Peggy Steffans, Jerome Hill, Taylor Mead　　Adolfas Mekas arrive aux États-Unis avec son frère Jonas en 1949. Ils fondent Film Culture, une revue consacrée au cinéma indépendant. Nourri par les films qui l’ont précédé, Adolfas réalise Hallelujah the Hills qui témoigne de cette culture en même temps que d’une immense liberté que l’on retrouvera dans tous les films du New American Cinema.　　« Tourné suivant le bon vieux principe d’une idée par plan, ses collines embaument de fraîche ingénuité et de gentillesse rusée. L’effort physique y côtoie hardiment le gag intellectuel. On s’émeut et on rit d’un rien un buisson mal cadré, une banane dans la poche, une majorette dans la neige… »　　Jean-Luc Godard, Les Cahiers du cinéma, 1963　　« Créons un territoire à nous, loin de l’Amérique des buildings et des rêves de puissance, dans des forêts laissées vierges par le tout pouvoir. Vivons l’instant et les sensations, les possibles fugues de l’amitié et de nos rêves […]. Revenons aux fonds précieux de nos rêves et de notre culture (du coutumier aux plus grands films en passant par le folklore), à l’origine de la création, au désir qui, seul, motive l’artiste et lui permet de s’affranchir de diverses contraintes, de libérer l’esprit et le corps, au prix de quelques moments d’anarchie, qui sont le gage d’une virginité féconde. Improvisons notre vie et notre cinéma, jusqu’à (en) mourir pour lui. »　　Frédérique Devaux, « Hallelujah the Hills, Petit traité d’improvisation ludique », livret du DVD édité par Re Voir